Greenpeace ennemie de la démocratie.
Hier, l'association Greenpeace a envahi l'assemblée nationale. Un militant a même essayé de descendre en rappel dans l'hémicycle. Le dernier parlement qui a eu à subir un tel assaut fut le parlement espagnol lorsque le colonel Antonio Tejero Molina, le 23 février 1981, a pris la parole pistolet au poing en uniforme de la garde civile, pour tenter un coup d'Etat.
Aucun argument ne justifie de fouler ainsi aux pieds les bases de notre démocratie. Cette organisation semble ignorer les règles de fonctionnement du peuple français et le respect dû à ses institutions. De telles initiatives liberticides sont contre-productives et totalement condamnables. J'attends du personnel politique une condamnation unanime. On ne peut jouer avec notre démocratie. Elle est bien trop précieuse.