Casser la voix !
Vraiment la gauche normande a un problème avec la culture ! Sans oublier le licenciement des artistes du Théatre des Arts lors de la mandature Robert-Fourneyron précédente, le président socialiste actuel de notre région s'acharne sur la musique. Après avoir liquidé l'ensemble orchestral de Normandie puis "Région-musique", le voici qui s'attaque maintenant au choeur de l'opéra de Rouen !
Dans une lettre ouverte (LettreOuverte.pdf), le collectif des chanteurs dénonce une décision unilatérale qui ne prend en compte ni les chanteurs, ni le public, ni même l'intérêt régional. C'est simplement ahurissant. Notons au passage le silence assourdissant du maire de Rouen, à nouveau aux abonnés absents alors même que l'enjeu est de taille tant au plan musical que social !
Face à de telles méthodes, il est temps de changer de président de région et d'élire Bruno LE MAIRE par l'intermédiaire du vote en faveur de Mme MORIN-DESAILLY pour la Seine-Maritime.
Mouvement Social et Libéral de Normandie www.le-pommier.fr

Recettes fiscales + 11,4 %
Conseil municipal hier matin avec comme sujet principal le budget 2010. Nous avons appris que l'augmentation de 8 % des impôts locaux correspondait en fait à +11,4 % des recettes fiscales du fait de l'augmentation du nombre de contribuables et de la revalorisation des bases fiscales ! Le hold-up fiscal s'est encore alourdi ! Le dérapage des dépenses continue : + 5,4 % des dépenses de fonctionnement et +3,5 % des dépenses de personnel alors que l'inflation n'a augmenté que de 0,9 % en 2009 ! De plus, les faibles taux d'intérêt font baisser le remboursement des emprunts : - 4 % ! Endettement surévalué, dérapage des dépenses, fiscalité insensée, injustifiée et injustifiable (rappelons l'augmentation de 17 % des impôts locaux déjà en 2009 par le conseil général socialiste) : la municipalité laisse filer ses finances au détriment des vaches à lait que sont les trop rares contribuables rouennais.
Au passage, rappelons le sort funeste de l'association du centre social du Châtelet dont l'adjointe au "social" a eu le culot de dire que sa disparition avait eu l'assentiment du bureau. Le tract distribué par celui-ci ne va pas franchement dans ce sens. La majorité socialo-écolo-communiste a voulu sa disparition. Elle l'a obtenue au détriment des habitants les plus fragiles de notre ville.>