El governator
Hier soir, au conseil municipal de Rouen, après une longue séance d'auto-congratulations socialistes, M. Robert a été adoubé non pas par les Rouennais mais par sa majorité socialo-communisto-verte (moins 4 voix). Il a été nommé gouverneur de Rouen par les socialistes.
El governator s'est alors empressé d'affirmer que "nous sommes dans une logique de continuité absolue". Il s'agit bien de la logique et de la continuité socialistes, éloignées des réformes et de la démocratie. Ce n'est pas la bonne logique pour les rouennais et pour la ville de Rouen. Les socialistes, qui ont confisqué tous les pouvoirs s'installent et gèlent la ville de Rouen dans un conservatisme étroit, dans un dogmatisme désuet. Cette ville a besoin des changements d'orientation pour la faire avancer. Avec les socialistes et leur gouverneur M. Robert, c'est la rigidité et l'immobilisme qui triomphent.
Au lieu de prôner le changement dans la continuité, ils auraient été mieux inspirés de choisir la continuité dans le changement. Car, après tous leurs renoncements aux engagements de 2008 (impôts, place de la cathédrale, médiathèque, île Lacroix...), les voici piégés dans une "majorité" explosée, incapables de répondre aux besoins fondamentaux des rouennais.
Les forains outragés
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