En avant le bulldozer !

Il s'agit bien d'un triple gâchis. Gâchis artistique, en faisant disparaître une oeuvre contemporaine qui donnait de la couleur et de la modernité à notre cité. Gâchis écologique en rendant à la circulation automobile un pont réservé aux piétons le temps d'un été et qui a vocation à le rester. Gâchis financier enfin car cette opération a coûté 215 000 euros (+ 50 000 de déplacement des jardinières du pont !) pour seulement un mois et demi d'exposition.
L'année débute bien mal pour cette municipalité !>