Oui au repos dominical !
Lors du conseil municipal de ce jour, le groupe Rouen Social et Libéral a déposé une motion d'urgence sur le repos du dimanche. Au moment où l’Assemblée Nationale débat sur une proposition de loi concernant le travail le dimanche, nous réaffirmons notre attachement au repos dominical.
La loi du 13 juillet 1906 précisait que « le repos hebdomadaire doit être donné le dimanche » et il fut inséré dans le Code du travail. Cet acquis social donnait un espace de liberté à tous pour développer des activités sociales, sportives ou familiales… voire rien du tout. Le dimanche permet de se donner un équilibre de vie souvent mis à mal par le rythme de la semaine.
Comme le rappelait Mgr DESCUBES en janvier dernier : « L’économie et le travail ne sont pas le dernier mot d’une vie sociale. Jour de liberté, de détente, de repos, le dimanche est également le temps des retrouvailles entre générations, adultes, jeunes et enfants quelles que soient leurs activités ».
Si de nombreuses personnes ont toujours travaillé le dimanche, ce fut pour permettre la vie sociale (services aux personnes, commerces de proximité, entreprises de transports, de loisirs, de spectacles, etc.).
Nous redisons notre volonté de voir préserver ce jour de congé hebdomadaire commun, source de lien social. Le dimanche est et doit rester un jour différent des autres jours.
La loi du 13 juillet 1906 précisait que « le repos hebdomadaire doit être donné le dimanche » et il fut inséré dans le Code du travail. Cet acquis social donnait un espace de liberté à tous pour développer des activités sociales, sportives ou familiales… voire rien du tout. Le dimanche permet de se donner un équilibre de vie souvent mis à mal par le rythme de la semaine.
Comme le rappelait Mgr DESCUBES en janvier dernier : « L’économie et le travail ne sont pas le dernier mot d’une vie sociale. Jour de liberté, de détente, de repos, le dimanche est également le temps des retrouvailles entre générations, adultes, jeunes et enfants quelles que soient leurs activités ».
Si de nombreuses personnes ont toujours travaillé le dimanche, ce fut pour permettre la vie sociale (services aux personnes, commerces de proximité, entreprises de transports, de loisirs, de spectacles, etc.).
Nous redisons notre volonté de voir préserver ce jour de congé hebdomadaire commun, source de lien social. Le dimanche est et doit rester un jour différent des autres jours.
Impôts : pour quoi faire ?
Foulant au pied leurs promesses électorales, Mme FOURNEYRON et sa majorité socialo-écolo-communiste annoncent une augmentation de + 8 % des impôts locaux à Rouen en 2010. La justification de cette augmentation est le financement de leur plan pluriannuel d'investissement (PPI). Il me semble indispensable qu'avant mars 2010, date probable de la mise en oeuvre de cette augmentation (qui succèdera à celle de + 15 % en 2009 par le conseil général de la même majorité politique), la majorité actuelle détaille la justification de cette augmentation massive de la fiscalité.
Quel serait le PPI sans cette augmentation d'impôts ? Quels projets seraient mis en oeuvre en plus avec cette augmentation d'impôts ? Si la volonté de concertation et de transparence existent réellement dans cette municipalité, pourquoi ne pas interroger les Rouennaises et les Rouennais par référendum pour valider l'une ou l'autre de ces options. Ce serait un vrai exercice de démocratie participative, autrement plus crédible que le référendum sur le palais de congrès qui n'a abouti à rien si ce n'est à une année de plus de déchéance de ce bâtiment.
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Gazette N°143
Voici la dernière Gazette avant l'été(Gazette143.pdf). Elle traite de la situation financière de Rouen, des batons mis dans les roues des taxis rouennais et du plan local d'urbanisme. Elle est en cours de distribution. Vous pouvez la recevoir par internet en vous inscrivant sur Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser..>
Une surprise à la rentrée !
Rouen emprunte à DEXIA
Dans un communiqué de presse commun, DEXIA (la banque des collectivités) et la ville de Rouen ont annoncé le 6 juin dernier un emprunt de près de 27 millions d’euros. Notons au passage que cet emprunt est rendu possible grâce au plan de sauvetage des banques porté par le gouvernement !
Pour qu’une banque communique sur un tel emprunt, c’est que l’emprunteur est solvable, sans quoi tout ceci se ferait dans la discrétion avec des taux d’intérêts élevés. La situation financière de Rouen est donc loin d’être aussi catastrophique que ce que la majorité municipale actuelle décrit !
D’autre part, la municipalité a, sans aucun doute, donné aussi des gages de solvabilité supplémentaires. L’augmentation des impôts locaux en 2010 devient donc une probabilité de plus en plus évidente, contrairement à ce que Mme FOURNEYRON avait juré tout au long de sa campagne électorale...