Ferrero : ange ou démon ?

Un bout de Rouen à Sumatra !

Si vous souhaitez participer à cette opération " Un bout de Rouen à Sumatra " qui se cloturera le 26 janvier 2012, et faire un don au profit de l'Association Kalaweit, il suffit d'envoyer un mail à l'adresse suivante "Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser." et de mentionner le montant de votre engagement, ainsi que vos coordonnées, puis d'envoyer votre participation soit au 8 bis rue Alsace Lorraine 76000 Rouen où nous centraliserons les dons, ou de l'envoyer directement à l'Association Kalaweit 69 rue Mouffetard 75005 Paris en précisant votre adhésion à l'opération. Un reçu fiscal vous sera adressé par l'association Kalaweit donnant droit à une réduction d'impôt égale à 66% des dons dans la limite de 20% du revenu imposable. La part des dons dépassant cette limite au cours d'une année pourra être reportée sur les 5 années suivantes et ouvre droit à la même réduction d'impôt, dans la même limite. (texte complet du communiqué de presse ci dessous)
http://www.dailymotion.com/video/xf64ls_spot-kalaweit_animals
Visite de quartier

Ils se cognent dessus !

Le luxe quitte Rouen.
Juste après Noël, la boutique LANCEL de la rue du Général Leclerc fermera définitivement. Après la dernière boulangerie de la rue Grieu, après une longue liste de commerces qui ferment jour après jour, ce sont maintenant les grandes enseignes du luxe qui quittent Rouen. Or, les commerces, tout comme les autres PME/TPE chères à Cyrille Grenot, sont à la fois la principale activité économique de notre Cité mais encore des acteurs majeurs de notre vie sociale et de quartier.>
Cette nouvelle fermeture témoigne de deux éléments. Tout d'abord, la paupérisation de notre ville. Les statistiques de l'INSEE, tout comme l'observatoire des données sociales, le confirment mois après mois. La frénésie fiscale de la ville et du département, tout comme les discours fiscalistes de leurs édiles, ne tiennent pas compte de cette réalité avec une base fiscale qui s'étiole. La nécessité d'économies s'imposera à eux, par leur jugement, sinon par des décisions nationales. Le deuxième élément tient à l'inertie municipale. Je prendrai un seul exemple : les travaux de la ligne 7. Aucun accompagnement n'est réalisé vis à vis des commerces touchés par les travaux. Ce fut le cas récemment avec la pizzeria de la rue Louis Ricard qui a connu une baisse d'activité de près de 70 % lors des travaux ! Aucune mesure d'aide n'a été prévue et l'entreprise connait des difficultés dans l'indifférence municipale. Ce fut également le cas lors de travaux de piétonnisation de la rue des Carmes et de la rue Ganterie il y a quelques mois. Les commerçants ont fait face à une municipalité sourde et indifférente.
Il est temps qu'au delà des discours et d'une association aux ordres, une réelle attention soit portée aux commerçants rouennais.